Connie, mathématicienne, arrive à Cambridge, pensant qu'on lui a confié un poste de professeur. Elle se rend compte que des confrères sont là, à qui on a fait la même promesse. Les services secrets les ont en fait réunis pour décrypter un code mystérieux et les voilà « assignés à résidence ». Parmi eux se trouve un inconnu au comportement étrange… et c'est peu dire pour leur petit milieu. Luke semble en savoir beaucoup plus qu'eux sur ce code et même sur la vie, l'univers et le reste. Un roman sur l’amour l’amitié et l’éradication de l’espèce humaine pour les fans de Dr Who et The Big Bang Theory.
De prime abord, la main inerte était presque belle. Ouverte, les doigts tendus, parfaitement translucide. Transparente comme si elle était faite de résine, de verre ou de glace.
Ayant lu les deux premiers tomes de "La petite boulangerie", j'ai eu envie de lire tous les romans de Jenny Colgan.
Le début est assez passionnant, l'arrivée de Connie, à Cambridge, la découverte des autres scientifiques.
Oui, même si j'ai éprouvé un énorme doute à la moitié du roman, et j'ai bien failli arrêté. Pour être honnête, j'avais décidé d'arrêter, mais je n'arrivais pas à passer à un autre roman. Le besoin de savoir comment Connie allait s'en sortir a été plus fort. Au final, je dirai : tout ça pour ça? J'ai pas du tout aimé la deuxième partie, et la fin du roman.
Le style est un peu confus avec toutes ces mathématiques, on ne comprends pas toujours tout. et c'est bien dommage, même si c'est pas si grave, puisque cela n'impacte pas l'histoire de façon globale.
L'histoire peu plausible m'a laissé perplexe et du coup, ben les personnages sont un peu passés à la trappe.
Arnold sans aucun doute. Un "dingo" voué d'une humanité à toute épreuve.
J'ai détesté Connie, je l'aimais bien au début, mais je ne l'ai pas trouvé crédible pour un sou, par la suite.
Forcément oui, car je n'ai pas apprécié cette lecture.
Oui, les romans "Rendez vous au CupCake café", et "Le colocataire", de Jenny Colgan, font partis de mes prochaines lectures.
Plutôt négatif. Personnages "chiants", histoire rocambolesque, rien à récupérer dans ce roman.
Arnold avait trouvé les micros cachés dans leur labo et avait placé tout contre l’un d’eux un baladeur diffusant en permanence du Justin Bieber, de sorte qu’ils puissent communiquer à voix basse. Il était à peu près certain qu’on ne pourrait pas les entendre, et que celui qui les espionnait aurait vite des velléités de suicide.
Écoutez, fit Nigel en baissant la voix. Je pense que si une civilisation extraterrestre nous a contactés, et ne nous a pas fait sauter après avoir entendu quelques singles de Miley Cyrus, sait-on jamais, ils sont peut-être amicaux, ces extraterrestres.
- Pas d'humour! chuchota Anyali d'un ton pressant. J'avais dit : pas d'humour! Enfin ! Si les français eux-mêmes ne saisissent pas nos blagues, Dieu sait comment une civilisation extraterrestre risque de réagir !