Quatrième de couverture :
La Crim' ne se repose-t-elle donc jamais, même le septième jour ? Sept jours pour faire cesser l'horreur !
Le Quai des Orfèvres comme si vous y étiez : le fameux escalier, les filets de protection, la vétusté des murs… Si ces murs pouvaient parler, ils diraient l'esprit de corps, les tensions qui se nouent, les affaires qui se dénouent… et le combat implacable du patron de la Crim' : course contre le monstre, course contre la montre pour sauver la 7e femme !
En voila un roman qui grignote l'attention, jusqu'au point où on n'a plus envie de le lâcher. Une enquête passionnante, durant laquelle on retient son souffle. Les meurtres sont cruels, vraiment pervers. Mais en dehors de cela, c'est un bon roman policier. Les méthodes d'autopsie et de profilage sont bien décrits, ce qui est une bonne chose. Quand on peut joindre l'utile a l'agréable! J'avais découvert le coupable bien avant, mais cela n'est pas très important. De plus, j'ai beaucoup apprécié certaines descriptions de scène très scénarisée, comme avec des images video au ralenti.
Seul bémol : Un héro trop parfait, comprenant les femmes, beau, gentil, doux, compétent, etc etc face à un tueur sadique mysogyne au possible, comme un antiportrait du protagoniste.
Note : 4,5/5